Non loin de l'habitat de 2 000 éléphants de savane, la création de Kokoa Kamili a considérablement augmenté les revenus des petits actionnaires producteurs de cacao de la région. Auparavant, un seul acheteur dictait le prix de son cacao. La création de l’entreprise a donné aux agriculteurs le pouvoir d’obtenir un prix plus élevé pour leurs haricots.

Lors de sa fondation en 2016 à Bundibugyo en Ouganda, Semuliki avait comme mission de réduire les risques économiques associés à la production de cacao en altérant les revenus des producteurs. Cette entreprise travaille maintenant avec 1000 familles de fermiers, et son centre de fermentation et de séchage centralisé permet de contrôler la qualité de ces processus.

Pinalum, Vanuatu

Au nord-est de l'île de Malekula, dans le village de Pinalum, pousse une fève de cacao d'exception, aux riches notes de fudge. Les fermiers, qui travaillent d'arrache-pied, sont fièrement attachés à leurs précieux cacaotiers et nous sommes honorés de transformer leurs fèves en chocolat d'exception. Ces familles, voisines et solidaires, cultivent des parcelles mitoyennes et unissent leurs efforts pour envoyer leurs récoltes à Sirene.

Giff Laube, Nicaragua

L'une des histoires les plus répandues sur le chocolat est que le Criollo est la variété cultivée, le Forastero la variété sauvage et que le Trinitario est leur enfant.

C'est complètement faux.

Le Criollo n'est qu'un des 18 cultivars distincts du Theobroma cacao. Giff Laube a minutieusement recherché de nombreux criollos lors de ses explorations dans les arrière-cours ou les parcelles de terre négligées du Nicaragua, du Mexique, du Guatemala, du Honduras et du Belize. Son verger au Nicaragua abrite désormais des cacaoyers criollos purs, confirmés par ADN, produisant des fèves aux saveurs douces et délicieusement noisettées (mais attention, il n'y a pas de noix dans le chocolat, rassurez-vous si vous êtes allergiques).